Macro-sectionnement du reseau routier national interurbain non concédé
Note d'information - Série Transports n° 10
Cette note présente la démarche de révision du macro-sectionnement. Cette démarche consiste à repérer, à partir de cartes (recensement de la circulation et cartes) et de la connaissance du terrain, les grandes sections homogènes en trafic. Une macro-section sera constituée d'une ou plusieurs sections élémentaires dont les trafics sont proches (à 10 % ou 15 % près).
Le recueil de données statistiques sur le trafic sur le réseau routier national se fonde sur une segmentation de celui-ci en tronçons (appelés " macro-sectionnement). Cette segmentation (ou " sectionnement ") permet de limiter la collecte de données trafic au strict nécessaire en fonction de la qualité statistique visée. L’idée sous-jacente à la définition d’une macro-section est d’être suffisamment homogène en termes de caractéristiques de trafic, afin que la collecte des données, en un point de cette section, soit représentative de l’ensemble de cette section. Il a été décidé, en 2011, de réviser le macro-sectionnement sur le réseau national non concédé, en étudiant notamment les possibilités de réduire le nombre de macro-sections, afin de limiter les coûts de recueil des données statistiques.
Les sections urbaines et péri-urbaines (sections utilisées par les Direction Interdépartementales des Routes " DIR ") dans les Systèmes d’Aides à la Gestion du Trafic (SAGT) sont exclues du champ du sectionnement. Le plus souvent, les origines et extrémités de ces macro-sections sont définies par les entrées d'agglomération et les carrefours importants. Une macro-section peut franchir les limites de département tout en restant dans le périmètre de gestion des DIR.
1- Objectifs et contraintes
2 - Historique du macro-sectionnement depuis 2007
3 - Le macro-sectionnement 2013
4 - Le déploiement relatif au macro-sectionnement 2013
5 - Mise en place du nouveau macro-sectionnement et impact sur les outils informatiques
Bibliographie
Glossaire