Le Salon des maires et des collectivités locales qui a eu lieu du 16 au 18 novembre a été l'occasion pour le Cerema de renforcer ses liens avec les collectivités. Plusieurs partenariats ont été signés et des rencontres nombreuses ont eu lieu sur son stand.
Le Cerema était aussi présent à travers les interventions de ses experts et spécialistes dans ses 6 domaines d'activité: Ingénierie des territoires, bâtiment, mobilités, infrastructures, environnement et risques, ainsi que la mer et le littoral.
Objectif: montrer les solutions, les outils et méthodes développés pour répondre aux attentes et besoins des territoires dans une optique de résilience et d'adaptation des territoires au changement climatique.
accompagner l'évolution des mobilités
Les enjeux dans le domaine des mobilités sont nombreux: décarbonation, inclusion, intermodaité, aménagement de l'espace public...
Le Cerema a souhaité présenter aux élus des projets destinés à répondre à leurs besoins, à développer les connaissances, à accompagner sur le plan méthodologique ou opérationnel.
Quelles solutions de mobilités en territoires peu denses?
Avec la loi d'Orientation des Mobilités, de nombreuses collectivités se sont saisies de la compétence mobilité. Comment peuvent-elles agir pour développer les mobilités, en particulier les mobilités décarbonées, dans les territoires périrubains et peu denses? Quelles stratégies adopter ? Comment implémenter une dynamique durable et impliquer les acteurs? Quels outils mobiliser pour diagnostiquer et organiser les mobilités sur son territoire ?
La gestion des mobilités est un enjeu majeur de transition énergétique et climatique dans tous les territoires. Dans les villes moyennes, petites villes et zones rurales, les défis de décarbonation des mobilités se doublent d'enjeux de mise en place de services de mobilité pour les habitants, de desserte des territoires, d'aménagement des espaces publics et de (re)découverte de la marche et du vélo.
Le Cerema travaille sur ces questions et a déjà mis à disposition une série d'outils méthodologiques.
Un appel à partenaires est également en cours pour accompagner des territoires peu denses dans la construction et la mise en oeuvre de leur stratégie de mobilité.
Interview en 3 questions :
Pour la parution du guide et du P'Tit Essentiel sur l'élaboration et la mise en oeuvre du plan de mobilité simplifié, le Cerema a réalisé une interview d'Isabelle Mesnard, directrice de projets Mobilités et cohésion des territoires.
Un appel à partenaires en cours
Destiné aux AOM locales, cet appel a pour objectif d'accompagner plusieurs territoires dans la conception de leur plan de mobilité simplifié, selon 3 axes possibles. Les candidatures sont ouvertes encore quelques jours!
La diffusion des connaissances
Le Cerema propose aussi des formations, notamment à travers des webinaires organisés dans le cadre des Rendez-vous Mobilités du Cerema, qui permettent aussi d'échanger des retours d'expériences.
La présentation :
La présentation :
Une offre de service a été mise au point pour aider les collectivités à développer les mobilités dans les territoires peu denses, à travers un diagnostic des besoins, et une aide pour organiser, planifier et évaluer les politiques publiques en matière de mobilités.
Tourisme à vélo et développement local
Une autre intervention, lors de la conférence "Tourisme à vélo et développement local : une nouvelle opportunité" organisée par Lumiplan, a permis au Cerema de souligner la convergence d'intérêts entre le tourisme à vélo et l'usage du vélo par les habitants.
Pour attirer les touristes à vélo, le développement de certains services est un plus et des centres bourgs attractifs à proximité des itinéraires cyclables profitent à la fois aux touristes et aux résidents.
Transformer la logistique urbaine avec InTerLUD
Une présentation du programme national InTerLUD aux acteurs des collectivités a été réalisée sur le stand du Cerema. L'objectif est de mettre en réseau sur base du volontariat les acteurs locaux du transport de marchandises en ville pour co-construire des chartes de logistique urbaine durable.
Celles-ci doivent être l'occasion de créer des espaces d'échanges entre acteurs publics et privés pour favoriser un transport de marchandises décarboné et économe en énergie.
Une plateforme est en ligne et donne toutes les informations:
La présentation :
Le diagnostic de sécurité des passages à niveau
Pour permettre aux collectivités de répondre à l'obligation de réaliser un diagnostic de sécurité des passages à niveau, une plateforme a été mise en ligne récemment par le Cerema pour présenter les documents nécessaires.
Des solutions pour les territoires littoraux
Concilier développement et réponse au défi climatique
Les effets du réchauffement climatique sur le littoral sont déjà visibles et vont inévitablement s'accroître : les territoires devront s'adapter aux impacts de l'élévation du niveau marin et à l'accroissement des tempêtes, de manière disruptive. Cependant, l'économie bleue et les activités liées aux questions maritimes offrent un développement important. Il faut donc trouver des solutions innovantes pour concilier la prévention des risques et le développement de ces activités en mer.
Les collectivités (1.200 communes sont situées sur le littoral) sont appelées à développer des projets de territoires maritimes et littoraux. Le Cerema a présenté les outils qui permettent de définir et mener une stratégie d'adaptation, tels que les documents stratégiques de façade maritime et de bassin maritime ultramarin qui ouvrent à la fois des opportunités pour des initiatives à l'échelle locale, tout en proposant les premières briques de l'adaptation et de la résilience, en lien avec le développement des collectivités.
La démarche de territoire, les documents stratégiques tels que le SCoT ou le PLUi, les aides marines protégées notamment ont été cités.
Connaissance précise par l'observation et outil pratique "boussole de la résilience" sont les clefs d'une prise de décision éclairée vis-à-vis des impacts du changement climatique.
La présentation :
Littoral : Observer pour cartographier et décider
L'observation du territoire vise à connaître les évolutions passées et présentes du littoral ainsi que des ouvrages et infrastructures qui s'y trouvent, mais aussi à réaliser des projections sur les évolutions à venir.
Il est important de connaître les phénomènes géomorphologiques du littoral, les mouvements de sédiments, les enjeux anthropiques... pour comprendre comment fonctionne le territoire.
Des outils ont été présentés :
Un guide méthodologique
Le Cerema a publié un guide méthodologique Analyse du fonctionnement hydro-sédimentaire du littoral, utile en préparation de toute étude d’aménagement côtier et d’aléas littoraux.
Les archives des données houle
Le Cerema a mis en ligne un Centre d'Archivage National de Données de Houle In-Situ (CANDHIS). Il présente la mesure des états de mer dans le domaine proche côtier et diffuse des données auprès des acteurs.
Le portail de la mer et du littoral
Une plateforme numérique, Géolittoral, diffuse les données géographiques issues des politiques publiques portées par le Ministère et des informations et documents de nature à portant sur la mise en œuvre des eaux pluviales.
Synthèses des connaissances
Des documents synthétisant les connaissances sur l'évolution de chaque partie du littoral métropolitain et d'outre-mer sont disponible dans la collection "Dynamiques et évolutions du littoral : la synthèse des connaissances sur l'évolution du littoral".
- Un indicateur national de l'érosion côtière a été défini pour mesurer l'avancée ou le recul de la limite entre la terre et la mer. Les données montrent que 70% du linéaire côtier est stable, 11% en avancée par rapport à la mer et 19% en recul.
- Le niveau de la mer doit aussi être pris en compte. Dans ce domaine, il apparaît que l'élévation moyenne annuelle est de 3,2 mm dans la période 1993-2014, ce qui marque une accélération par rapport à la période 1901-2011 lors de laquelle l'élévation moyenne était de 1,7 mm par an.
- L'identification des ouvrages de protection, infrastructures et bâtiments permet d'évaluer l'impact potentiel à plus ou moins long terme du recul du trait de côte.
Des ressources du Cerema pour aller plus loin :
La présentation :
Des stratégies d'aménagement pour une meilleure résilience des territoires
La nature comme levier d'adaptation au changement climatique
Le Cerema est intervenu lors d'une table ronde organisée le 18 novembre sur l'espace du Lab territoires bas carbone, sur la thématique de la nature au service de la lutte contre le changement climatique.
Cette intervention a permis dans un premier temps, de rappeler ce qu'est la renaturation et quels sont les enjeux pour les territoires (vis à vis de la limitation des effets liés aux îlots de chaleur urbains, de la réduction du risque d'inondation, de la préservation et la restauration de la biodiversité, de l'amélioration du cadre de vie ou encore de la préservation de la qualité agronomique des sols).
Dans un deuxième temps, deux exemples ont été présentés pour illustrer cette thématique: l'étude d'identification du potentiel de renaturation à l'échelle de l'Unité Urbaine Parisienne pour le compte de l'UD92/DRIEAT et l'outil Sesame (Services ÉcoSystémiques rendus par les arbres, Modulés selon l'Essence) développé par le Cerema, la Ville de Metz et Metz Métropole et décliné à l'échelle des territoires.
Pour en savoir plus sur ces deux exemples:
Une boussole pour les territoires résilients
Présent auprès des territoires pour les accompagner dans la réponse à des enjeux climatiques, énergétiques, de mobilité, de risques naturels notamment, le Cerema a présenté aux élus les raisons pour lesquelles il est important de mettre en oeuvre des démarches de résilience des territoires, l'approche du Cerema dans ce domaine ainsi que des solutions et outils qui facilitent la réflexion et l'action collaboratives au niveau des territoires.
Le Cerema a identifié deux grands types de nouveaux risques, qui ont des impacts mutuels et peuvent avoir des effets cumulatifs:
- De nouveaux risques physiques : les effets du changement climatique, l'érosion de la biodiversité et l'épuisement des ressources, phénomènes qui se ressentent déjà dans les territoires. Ces risques se cumulent et génèrent des risques de crises majeures.
- Des risques de "transition": l'inévitable transition écologique ou bas carbone implique une transformation profonde qui touche à la vie quotidienne des citoyens, et génère de nouveaux risques à la fois sociaux et politiques.
Les perturbations peuvent être des chocs qui ont lieu de manière temporaire comme les inondations, les canicules, les défaillances d'infrastructures par exemple, ou des stress chroniques qui durent dans le temps comme des pénuries d'eau, la pollution de l'air et des sols, le manque de cohésion sociale, les tendances macroéconomiques...
Un territoire résilient peut être défini comme ayant la capacité à :
-
Anticiper tout type de perturbations;
-
Agir pour en atténuer les effets ou l’apparition ;
-
Rebondir, récupérer;
-
S’adapter, se transformer.
Les choix doivent être idéalement collectifs et s’inscrire dans des trajectoires "durables".
Des outils ont été conçus pour aider les territoires, mais aussi les organisations, à se préparer, s’adapter, se transformer, pour mieux faire face aux perturbations ponctuelles comme aux évolutions de long terme comme le changement climatique ou l’effondrement de la biodiversité:
Guide d'utilisation de la boussole de la résilience:
Le Cerema a publié un guide disponible gratuitement pour présenter l'approche globale de la résilience et le mode d'emploi de la boussole. Celle-ci comporte 6 principes d'action et 18 leviers pour mettre en œuvre ces principes, afin de se préparer en amont et de mieux s'adapter.
La boussole synthétise le retour d'expérience du Cerema et constitue un prototype de "référentiel" de la résilience des territoires, qui peut aussi s'appliquer aux organisations.
Une offre de service pour accompagner les territoires:
Le Cerema a défini une offre de service intégrée pour un accompagnement sur-mesure des territoires dans l'élaboration d'une démarche de résilience, en privilégiant une approche collective.
Elle comprend la réalisation d'un diagnostic participatif et l'identification des priorités d’actions, l'élaboration d'un plan d'actions en s'appuyant sur la boussole de la résilience, des expertises ciblées, la formation des acteurs et l'évaluation des actions.
Des outils pour le Zéro Artificialisation Nette
Plusieurs outils ont été mis en place par le Cerema pour aider les collectivités à limiter l'artificialisation des sols. Un portail de l'artificialisation des sols permet de suivre l'évolution de l'artificialisation et d'en connaître les facteurs.
Pour aider les collectivités à revitaliser des friches urbaines à ainsi à limiter l'artificialisation des sols, le dispositif UrbanVitaliz, piloté par le Cerema dans le cadre d'une start-up d'Etat, permet d'identifier les acteurs utiles, les financements, de connaître les outils disponibles et pertinents, d'avoir des conseils techniques tout au long du projet.
UrbanVitaliz est un service en ligne gratuit développé dans le cadre de France Relance, il est accessible via la plateforme web dédiée :
Via la plateforme, les utilisateurs accèdent à une synthèse des informations clés, des recommandations d'actions, peuvent poser des questions ou prendre rendez-vous avec un membre de l'équipe.
Un portail de l'artificialisation
Ce portail de l'artificialisation présente les dernières données sur l'artificialisation des sols, mises à jour par le Cerema, ainsi que des outils et méthodes pour permettre aux collectivités de limiter le phénomène.
Localiser les friches
Cartofriches est un outil gratuit en ligne, qui localise et caractérise plus de 4.200 friches en France. Il est alimenté par des bases de données nationales et des observatoires locaux, et désormais les utilisateurs.
La plateforme des données foncières
Datafoncier est le site des données foncières pour l'aménagement des territoires, retraitées par le Cerema. Il réunit les information sur les outils, les formations, l'actualité du domaine foncier.
Le défi pour l'éclairage de demain : associer performance et sobriété énergétique et lumineuse
Le Cerema est intervenu au sujet des installations d'éclairage public, qui concilient généralement mal les multiples enjeux qui y sont liés:
- la performance lumineuse pour un service optimisé aux citoyens (déplacements modes actifs, vie nocturne, sureté urbaine...)
- la maîtrise des consommations et coûts de fonctionnement et des nuisances lumineuses.
Pour aller vers un éclairage plus agile face à ces enjeux, il est nécessaire d'apporter plus de modularité à l'éclairage urbain pour le mettre en phase avec l'évolution chronologique des besoins au cours de la nuit ou de manière hebdomadaire ou saisonnière et de mieux prendre en compte les impacts sur la biodiversité nocturne.
Il est possible d'aller vers un éclairage dit "intelligent" qui peut s'adapter au mieux à ces paramètres pour satisfaire à la fois le besoin humain tout en essayant de limiter au maximum les impacts environnementaux aujourd'hui largement mis en évidence par les études sur ce sujet.
Une méthode pour identifier les zones à enjeux en termes de biodiversité et adapter l'éclairage dans le cadre d'une trame noire a été élaborée par le Cerema.
Deux collectivités avec lesquelles le Cerema collabore ont témoigné de projets expérimentaux dans ce sens :
- Un éclairage qui s'adapte au type d'usager, à Limoges Métropole (Luciole), qui détecte les piétons et cyclistes, s'allume à leur passage et les suit à l'avancement puis s'éteint après une temporisation
- L'évaluation en cours de l'impact d'un changement de lampe d'éclairage dit "à basse T° de couleur" sur le comportement de chauve-souris avec le Syndicat Départemental des Énergies de Seine-et-Marne.
Un article a été publié dans la revue TechniCités au sujet de cette intervention : "L’éclairage public intelligent, un outil pour agir dans sa ville".
La présentation :
Environnement : des clés pour la transition écologique des territoires
Le bois énergie, une solution pour les collectivités – Pourquoi et comment le développer ?
Le guide "bois-énergie" a été présenté lors du salon : destiné aux collectivités, il présente les atouts du bois énergie illustrés de leviers d'actions et de retours d'expériences inspirants pour le développer dans les territoires de l’amont à l’aval de la filière.
Il a été co-construit par le Cerema, le CIBE (comité interprofessionnel du bois énergie), la FNCOFOR (fédération nationale des communes forestières) avec le soutien de France bois forêt.
Le bois énergie est la première énergie renouvelable de France, mais son développement est encore bien en deçà des objectifs fixés nationalement, notamment dans la Loi de transition énergétique pour la croissance verte de 2015. Afin d’accélérer son développement dans les territoires, ce guide rassemble les informations sur le sujet et présente des actions concrètes à mettre en œuvre dans les territoires.
Il rappelle les multifonctionnalités de la forêt : espace de détente, refuge pour la biodiversité, production de bois, stockage de carbone … et présente en particulier les atouts du bois énergie : de la création d’emplois locaux non délocalisables, jusqu’au rôle de la forêt dans la lutte contre le changement climatique.
L'objectif est de donner aux élus des clés concrètes pour agir sur l’ensemble de la filière : en amont, par la gestion et la mobilisation durable de la ressource ; en aval, avec la création de débouchés locaux tels que des chaufferies ou des réseaux de chaleur au bois. Il présente également les outils de la planification énergétique et territoriale permettant de créer des conditions favorables au développement du bois énergie.
De nombreux retours d’expériences viennent illustrer les leviers d’actions proposés pour faciliter leur mise en œuvre.
En savoir plus sur l'appel à partenaires:
Cet appel s'adresse aux collectivités en charge d’au moins une partie de la compétence GEMAPI.
Jusqu'à une vingtaine de territoires seront suivis dans une démarche structurante en termes d’outils d’analyse, de suivi des informations utiles pour mettre en œuvre des actions ultérieures, comme en termes de méthodes participatives et d’implication des acteurs du territoire pour son devenir.
Les enseignements du 1er appel à partenaires:
Le Cerema a capitalisé les enseignements issus du premier appel à partenaires, dans un guide qui présente les enjeux de chacun des 9 territoires accompagnés, les principales étapes de la démarche ainsi que les choix en termes de gouvernance, et les solutions mises en oeuvre.
Le guide est disponible gratuitement sur la boutique en ligne du Cerema :
Développer l'économie circulaire dans la construction
Le label 2EC est lancé par le ministère de la Transition écologique et piloté par le Cerema, pour les projets de construction intégrant les enjeux de l'économie circulaire.
Il s'adresse à tous les porteurs de projets qui souhaitent mettre en œuvre et valoriser leur démarche ainsi que toutes les parties prenantes impliquées pour la bonne mise en œuvre des engagements :
- Les maîtres d’ouvrages publics et privés
- La maîtrise d’œuvre
- Les entreprises du BT
L'objectif est de favoriser la montée en compétence de l’ensemble des acteurs.
- Le label 2EC prend en compte la valorisation de matériaux alternatifs (alternatifs aux ressources non renouvelables) que les actions de prévention et de gestion des déchets de conception du projet.
- Il permet de respecter la réglementation en matière de prévention et gestion des déchets ainsi que des règles d’acceptabilité environnementale et sanitaire des matériaux alternatifs.
Toutes les informations sur le site du label 2EC
Des actions sur les usages et la décarbonation des bâtiments
Dans le domaine du bâtiment, le Cerema est présent à plusieurs niveaux, de la recherche à l'opérationnel, dans différentes thématiques, des matériaux à l'accessibilité, en passant par le confort d'usage ou la performance énergétique.
Lors du Salon des maires, il a présenté des domaines d'expertise qui intéressent directement les collectivités :
- Economies d'énergie avec deux solutions présentées :
- Cube.S et Cube.Ecoles permettant par l'accompagnement d'établissements scolaires du primaire au lycée, de réaliser en moyenne 12% d'économie d'énergie par an sans investissement uniquement par des actions avec les usagers
- Les matériaux bio sourcés, dont l'utilisation permet de répondre aux objectifs ambitieux de la RE2020 de réduction des impacts environnementaux pour les bâtiments neufs et pertinents également pour les travaux de réhabilitation,
- Confort au sein des bâtiment (Hub QAI): un programme débute sur des mesures de qualité d'air intérieur en continu et des solutions de remédiation en lien avec les équipements de ventilation,
- Gestion de patrimoine immobilier (notamment dispositif éco énergie tertiaire) qui vise à accompagner les CT pour s'inscrire dans une démarche d'économies d'énergie,
- Accessibilité du cadre bâti avec deux actions en cours en termes d'animation de la thématique au travers du GT RAVI et sur une action sur les SIG et données accessibilité des bâtiments qui permet de décrire l’accessibilité de la chaîne de déplacement de manière homogène, précise et qualitative.
La présentation :