
Même si les conséquences directes de leur inaction peuvent sembler relativement conceptuelles à certains gestionnaires de patrimoine immobilier public ou privé, il est nécessaire et prudent d’agir de façon préventive sur le patrimoine.
Un panorama des risques en cas d'inaction sur les bâtiments
Le Cerema propose ainsi d’éclairer l’ensemble des gestionnaires de patrimoine bâti via un panorama des conséquences financières et sociétales, souvent discrètes et sous-estimées dans l’imaginaire collectif, de l’inaction dans le bâtiment.
Pour ce faire, la présente étude dresse les grands principes et principales notions définissant l’inaction dans un bâtiment. Elle propose de répertorier les indicateurs nécessaires à l’évaluation monétarisable des conséquences de cette inaction résultant d’une approche en coût global.
Ainsi, dans un premier temps, un cadrage pour la prise en compte des coûts de l’inaction puis une structuration des conséquences de chaque type d’inaction, est proposée sous forme d’étude d’impact.
Il en ressort notamment que le principe d’évaluer le coût de l’inaction revient à établir les coûts de plusieurs phénomènes :
Au sujet de l'inaction dans la gestion des bâtiments, retrouvez aussi l'Essentiel en 12 pages :
Un document synthétique qui s'adresse en particulier aux élus, et résume les grands enjeux et leviers d'action en matière de gestion et d'entretien des bâtiments.
Comment contribuer, au-delà des économies d'énergie possibles, à maintenir la qualité d'usage et à préserver l'environnement intérieur des bâtiments publics ? Quelles sont les conséquences d'un manque d'entretien ? Quelles sont les responsabilités ?
Toutes les réponses dans cet Essentiel conçu par le Cerema pour les élus locaux.