Cet article fait partie du dossier : Agriculture urbaine et EcoQuartier
Voir les 2 actualités liées à ce dossierComposé de collectivités (et notamment Paris, Rennes, Strasbourg, Ris-Orangis, Métropole de Lyon, France Urbaine), d’aménageurs (SORELI, Citallios), de bureaux d’études (Julien Blouin, consultant en agriculture urbaine), d’experts du sujet (Assemblée permanente des Chambres d’Agriculture, Exp’AU, Terres en ville, Plante et cité, ADEME, Université de Limoges, Cerema) et de l’Etat (DGALN, DREAL Centre Val de Loire) le groupe de travail a permis de continuer à échanger sur les projets d’agriculture urbaine et leur inscription dans le cadre de projets d’aménagement urbain. C’était également l’occasion de présenter quelques expériences concrètes comme le projet des Pot’iront à Décines (et dont le salarié-encadrant travaille à mi-temps au Cerema) ou le projet Nantais d’Agro-quartier de Doulon-Gohards accompagné par Julien Blouin, consultant en agriculture urbaine.
À terme, l’idée du groupe est de produire des outils utiles aux porteurs de projets d’aménagement urbain (collectivités, aménageurs) mais aussi aux acteurs périphériques (urbanistes, paysagistes, promoteurs, architectes, bureaux d’études, …) pour mieux appréhender la complexité et la diversité des projets d’agriculture urbaine.
Pour l’heure, les premiers débats pointent la spécificité territoriale des projets, des acteurs et de leur très grande diversité. Le besoin d’accompagnement local et d’interface entre le monde urbain et le monde de l’agriculture est notamment mis en avant.
Dans le dossier Agriculture urbaine et EcoQuartier