Rejointoiement des ouvrages maritimes en maçonnerie
Le guide rejointoiement des ouvrages maritimes en maçonnerie détaille les méthodes et les conditions de mise en œuvre d'opérations de rénovation. Les précautions à prendre et les contrôles à effectuer y sont récapitulés.
Le patrimoine des ouvrages maritimes comporte de nombreuses infrastructures en maçonnerie (quais, jetées, digues, phares ...). La plupart de ces ouvrages sont anciens (antérieurs au XXe siècle). Ces constructions se dégradent avec le temps. Il est souvent judicieux d’entretenir ou de les réparer lorsque les effets du vieillissement sont détectés ou qu’ils ont une valeur patrimoniale reconnue. Dans ce cas il est utile en particulier d’entretenir ou de réparer les joints des pierres de maçonnerie.
En fonction des altérations des joints, de la taille des ouvertures de joints, de la profondeur à traiter et des surfaces à rénover, différentes méthodes de rejointoiement sont possibles : le rejointoiement traditionnel, la projection, l’injection ou le matage.
Ces méthodes et les conditions de leurs mises en oeuvre sont détaillées, tout comme les précautions à prendre et les contrôles à effectuer lors de l’exécution.
1 Domaine d’application, terminologie, définitions
1.1 Domaine d’application
1.2 Rappels terminologiques
1.2.1 Constitution d’une maçonnerie
1.2.2 Quelques définitions
2 Le choix des techniques et des produits
2.1 Les différentes techniques de rejointoiement
2.1.1 Techniques courantes
2.1.2 Techniques alternatives en subaquatique
2.2 Choix de la technique de rejointoiement
2.2.1 Préambule
2.2.2 Choix de la méthode de régénération des maçonneries
2.3 Choix des produits de rejointoiement
2.3.1 Généralités
2.3.2 Technique traditionnelle et matage
2.3.3 Techniques par projection
2.3.4 Choix des constituants
2.4 Référentiel technique
3 Exécution
3.1 Les études préalables : un diagnostic préalable
3.2 La préparation de chantier
3.3 Le phasage de chantier
3.4 Le dégarnissage
3.5 Le rejointoiement
3.5.1 Le rejointoiement manuel par la méthode traditionnelle
3.5.2 Le rejointoiement manuel par matage
3.5.3 Le rejointoiement par projection (voies sèche ou mouillée)
3.6 Les contrôles d’exécution
3.6.1 Ciments
3.6.2 Sable
3.6.3 Mortiers et bétons projetés
Conclusion