Transflash 412
Transflash 412
Le département a lancé, sous le pilotage du vice-président du Conseil départemental,  Gérard Seimbille, mais aussi des conseillers départementaux,  Yannick Boëdec et Sophie Borgeon, une expérimentation à la rentrée 2017 et jusqu’à fin 2018, pour répondre aux problématiques de mobilité dans les zones rurales.

 À l’occasion de son cinquième colloque Futurs Composés, journée d’échanges et de partages d’expériences autour des innovations  dans les services publics, le Conseil départemental du Val  d’Oise a voulu orienter les débats sur la question de la mobilité périurbaine. Le département compte de nombreux territoires  périurbains qui favorisent les déplacements en voiture au détriment des  transports collectifs  ou des  modes actifs. De plus, des réponses innovantes en termes de mobilité peuvent répondre à des besoins sociaux et économiques du territoire, facilitant l’accès au travail pour les habitants.

Source : Mission innovation, Conseil départemental du Val d’Oise

Le département a lancé, sous le pilotage du vice-président du Conseil départemental,  Gérard Seimbille, mais aussi des conseillers départementaux,  Yannick Boëdec et Sophie Borgeon, une expérimentation à la rentrée 2017 et jusqu’à fin 2018, pour répondre aux problématiques de mobilité dans les zones rurales.

Cette expérimentation, qui a pu être testée une première fois lors de l’évènement « Fête en Seine », prend la forme d’un dispositif de covoiturage spontané, de très courte distance, suivant deux itinéraires définis, sur le tracé des lignes de car existantes. L’usager a la possibilité de se signaler, via une borne placée à côté des arrêts de bus, afin de faire la liaison entre Longuesse et Vigny ainsi qu’entre Nucourt et Cléry-en-Vexin, et de rejoindre éventuellement les services et les lignes de transport situés dans ces communes, avec notamment  un rabattement sur un bus à haut niveau de service en direction de Cergy.

Un suivi de l’expérimentation  sera effectué en continu, permettant d’adapter le dispositif selon les retours des usagers. Ces retours pourront être faits par mail ou directement sur le terrain (des passations de questionnaires et des enquêtes sont prévues). De plus, le département s’appuiera sur les données récupérées sur les bornes du dispositif.

●   Correspondant local Cerema Île-de-France : Dan Magnan-Cesaretti