Cette intervention, s’inscrivait dans une des mesures du Plan Régional Santé Environnement 2 de la région Rhône-Alpes, pilotée par l’association SERA (Santé Environnement Rhône Alpes), co-financée par la DREAL RA, l’ARS et la Région.
Grâce à une "maquette" numérique 3D de la ville, intégrant l’ensemble des émetteurs et services (2G, 3G, 4G…) de radiotéléphonie mobile rayonnants sur la ville, les niveaux de champ électrique ont été calculés sur l’ensemble du territoire et sur près de 13500 bâtiments (habitations, établissements sensibles, commerces…).
Des zones "vigilance" identifiées
Cette modélisation, confortée par des mesures, a permis de montrer que les niveaux d’exposition et le nombre de personnes exposées, sur l’ensemble de la ville étaient globalement faibles et dans les moyennes nationales observées. Quelques zones de "vigilance" où des niveaux plus élevés, mais très en-dessous des valeurs réglementaires, ont été identifiés.
Une cartographie numérique, remise aux élus et services de santé, leur permettra de communiquer auprès des Valentinois intéressés de connaitre leur niveau d’exposition. Elle pourra également être utilisée lors du dialogue avec les opérateurs de téléphonie, dans le cadre de l’évolution de leurs réseaux.
Pour en savoir plus :
Un document de synthèse de l’étude est disponible sur le site de la ville de Valence.
L’étude a aussi fait l’objet d’un article dans le journal local "Le Dauphiné Libéré" :