Lancé par le Président de la République en février 2022, le plan national de résorption des décharges littorales historiques s’inscrit dans la lutte contre la pollution, notamment plastique, des océans.

Doté d’un fonds annuel de 30 millions d’euros géré par l’ADEME, il a pour ambition de résorber en dix ans les décharges littorales françaises historiques présentant à court terme le plus fort risque de déversement de déchets en mer, recensées par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM).

L’Etat s’appuie notamment sur le Cerema pour accompagner les maîtres d’ouvrage dans la conception des projets de réhabilitation de ces décharges et de renaturation des sites.

Les missions du Cerema

Au niveau national, le Cerema a été chargé par l’État de la mise en œuvre opérationnelle et de la démarche globale du plan.
À l’échelle locale, le Cerema accompagne les collectivités qui s’engagent à traiter leurs décharges.
Cet accompagnement est au cœur de la mission du Cerema et repose sur sa capacité d’expertise et les diagnostics qu’il réalisera pour chaque site. Ainsi plus spécifiquement l’État s’appuie sur le Cerema pour :

- Mission 1 -

Confirmer ou non l’entrée dans le plan des décharges inventoriées par le BRGM
 

- Mission 2 -

Piloter la priorisation des décharges concernées par le plan
 

- Mission 3 -

Assurer le suivi et le reporting de la démarche au niveau national
 

- Mission 4 -

Partager et diffuser les connaissances dans le cadre du plan à travers la capitalisation des études et travaux menés


 

Le Cerema apporte son expertise et accompagne les collectivités souhaitant s'engager dans la démarche, à travers :

  • l’élaboration de recommandations,
  • la cartographie des sources de financement complémentaires au soutien de l’ADEME,
  • la production de diagnostics et d’avis techniques et financiers sur les projets,
  • l’accompagnement des collectivités lorsque une mise en sécurité du site est nécessaire,

Les études et travaux ont débuté dès 2022 dans trois sites pilotes : les décharges de Dollemard (Seine-Maritime), de Pré-Magnou à Fouras (Charente-Maritime) et celle de l’Anse Charpentier (Martinique). Les retours d’expérience de ces trois sites permettront d’affiner les conditions techniques et financières de réussite du plan.

Liste des décharges littorales soumises à aléas marins

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Dispositif d’accompagnement financier des projets

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La genèse du Plan de résorption des décharges littorales

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