CONTEXTE
L’intermodalité, un concept que les ingénieurs adorent mais que les voyageurs détestent…
Synonyme pour les premiers de fluidité entre les divers modes de transports, elle peut se révéler très compliquée à vivre pour les voyageurs/usagers qui voudraient pouvoir se déplacer sans avoir à changer de train, sans se préoccuper des horaires du bus, de la disponibilité du système de vélo partagé ou de l’état des trottoirs.
Ces difficultés peuvent ainsi se révéler rédhibitoires et pénaliser grandement le développement des «modes actifs» (marche et vélo) pourtant au coeur des politiques de mobilité des villes et agglomérations de toute taille, en raison de leurs nombreux bénéfices individuels et collectifs : efficacité, faibles coûts, bénéfices pour la santé, pacification du trafic, empreinte carbone réduite...
OBJECTIFS
Cette journée technique fait parti du programme national partenarial «Une Voirie pour Tous» dont l’objectif est de contribuer à l’évolution et la diffusion des pratiques et savoir-faire qui visent à mieux prendre en compte, dans l’aménagement, l’ensemble des usagers de l’espace public et notamment les plus vulnérables (cyclistes, piétons, personnes à mobilité réduite…)
Consacrée aux questions liées à l’articulation entre les modes actifs et les transports collectifs, cette journée technique alternait entre présentations d’avancées réglementaires, recommandations techniques, outils existants et expériences locales.
Partager, échanger, débattre, autour de repères, de références, de pratiques : telle était l’invitation de cette journée destinée à enrichir les compétences collectives et conforter les dynamiques initiées sur les territoires.
Découvrez ci-dessous le programme complet ainsi que les présentations faites lors de cette journée.